Dans ce lit à Baldaquin de chine se trouvait la belle Lysandre, endormie sur le ventre, enroulée d'un drap de coton blanc, symbole de pureté du lys.
Lysandre demeurait dans un profond sommeil, ne sentant pas le vent qui soufflait et pénétrait par la fenêtre entr'ouverte; sa peau tressaillit par cette légère brise, délicieuse peau de pêche, légèrement veloutée, douceur, sensualité. Elle releva doucement la tête, ses yeux encore ensommeillés, et aperçut vaguement son poète qui était assis face à son bureau austère. Il appréciait ce bureau dont il savait qu'il renfermait un passé, un vécu ayant appartenu à de précédents écrivains et poètes qui, eux aussi, avaient fait voyager leur plume.
A SUIVRE...
Le texte complet se trouvera bientôt en livre dans les prochains mois dans Amour, Voyages, Légendes, Revoir New York...
Ecrit par Patricia Villard, et protégé par le SACD.
Mon doux printemps, si seulement tous les printemps étaient comme toi ? Un embellissement éternel de la vie.
Voilà à ce que je pensai en dansant la dernière danse du printemps, peu importe s'il avait ces fleurs en sure abondance, dans ses bras j'étais de nouveau la femme heureuse d'être aimée pour moi-même. Il me fait tourner, et encore tourner, mes pas emboîtent les siens tout s'assemble entre nous, les mots, les phrases, nos pensées tout ce ressemble je l'appelle mon encyclopédie de la vie. Il connaît tellement de choses et j'ai soif d'apprendre et d'en savoir toujours plus je m'abreuve de ces paroles.
A SUIVRE...
Le texte complet se trouvera bientôt en livre dans les prochains mois dans Amour, Voyagages, Légendes, Revoir New York...
Ecrit par Patricia Villard, et protégé par le SACD.
Commentaires